Chapitre 14 - Kaichou wa maid sama

Et voilà un chapitre 14 tout beau rien que pour vous ! 
Je vois enfin la fin des corrections de chapitre Pfiou ^^ 
A bientôt pour le 15 mes petits loups ! 

Bisous tout plein :3 

PV Misaki }

 

Je sentais mon cœur tambouriner dans ma poitrine, à tel point qu’il risquait de quitter son emplacement d’un moment à l’heure. Mon dieu faites que je ne tourne pas de l’œil. J’essayais de reprendre un rythme respiratoire normal, mais impossible. J’haletais comme un chiot après une longue balade en forêt. Mes jambes tremblaient comme des feuilles et heureusement que je tenais la porte des mains, sinon j’aurais déjà fini par terre. Pourquoi fallait-il que cela arrive ? Comment pouvais-je réagir autrement à ce spectacle… Pincer moi d’ailleurs, je dois cauchemarder c’est sûr ! Le grand Usui, *¹ récemment nommé Wheeler et sa charmante et douce fiancée venaient d’apparaitre devant comme la divine providence. Quelle chance Misaki… file te mettre sous un train. Enfin soit, restons calme… J’inspirais un bon coup, fermant les yeux et soupirait discrètement afin de me donner du courage. Heureusement dans cette histoire, il y avait tout de même du bon. J’étais la seule à les avoir accueilli, les autres étant resté dans la cuisine, se racontant des histoires de terreur très renommée sur l’île. Usui ne me lança même pas un simple regard surpris, il faisait comme s’il ne m’avait jamais rencontré et j’avoue que cela était fortement blessant. Sa tendre fiancée, elle, semblait ronchonne et mon visage ne la fit absolument pas tressaillir. Elle ne devait certainement plus se rappeler de moi et tant mieux. J’arborais un visage morne et me calais à l’entrée de l’auberge, dans l’endroit le plus sombre. L’obscurité me tranquillisait. J’appelais ma tante pour qu’elle vienne accueillir ses potentiels clients et je ne pus d’ailleurs m’empêcher de sourire en coin. Heureusement que tante Anako m’avait promis de n’héberger personne pendant notre voyage. Ils allaient repartir bredouilles, les pauvres…

 

Nous entendîmes les talons de ma tante parcourir le long couloir de l’entrée de l’auberge, avant d’apparaitre un énorme sourire commercial aux lèvres. Elle se courba comme toute bonne hôte et se plaça devant les deux adolescents trempés jusqu’aux os.


Oh mes pauvres... Regardez dans quel état vous êtes ! s’exclama ma tante d’un air outragé. Mon auberge était fermée mais je ne peux vous laissez dans cet état. Entrez, je vous prie.

 

Quoi ? Et merde ! Je perdis immédiatement mon sourire. Bon sang, si ma tante avait regardé mon visage à ce moment précis, elle aurait compris qu’elle venait de faire une énorme bêtise en faisant entrer ses deux jeunes gens. Malheureusement pour moi, ma tante était trop gentille… J’essayais par tous les moyens de ne pas retranscrire mes émotions sur mon visage, cela ferait trop plaisir à cet abruti… qui d’ailleurs ne m’avait pas encore lancé un seul regard. Cela m’énervait encore plus. Je me poussais complètement contre la porte en bois vernis, laissant entrer les deux nouveaux clients de ma tante. Le bruit de leur chaussures mouillés sur le parquet me fit grincer des dents. Usui retira sa veste qu’il tendit à ma tante. Elle venait de leur donner l’autorisation de se mettre à l’aise, c’était louper pour les mettre dehors. Sa fiancée ne tarda pas à en faire de même et ils retirèrent leurs chaussures, les plaçant à l’entrée de l’auberge, près de toutes celles qui s’y trouvaient déjà. Usui se tourna vers ma tante, un sourire charmeur et poli aux lèvres et la remercia chaleureusement d’un japonais parfait. Ma tante sembla désorienter pendant un instant, pendant certainement qu’Usui et sa charmante amie était d’origine étrangère, au vu de leur teint de peau. Ma tante se fit donc un plaisir de leur expliquer en détail le règlement de l’auberge pendant qu’elle les accompagnait à leur chambre, au premier étage. Inori traina un peu, réussissant difficilement à avancer avec son nombre incalculable de valises. Au moins, Usui n’avait rien d’un chevalier servant avec elle. Il était parti derrière ma tante sans même lui lancer un regard, je ne pus m’empêcher de trouver ça drôle. La jeune femme aux cheveux lilas soupira bruyamment, montrant son mécontentement et regarda un instant dans ma direction. Elle sembla réfléchir pendant un instant et plaqua par la suite un sourire exagéré sur ses lèvres. Elle ne tarda pas à me démonter sa charmante idée, accourant vers moi pour m’ordonner de monter ses valises à l’étage, avant de prendre la fuite en direction de ma tante et d’Usui. Je n’eus même pas le temps de répliquer quoique ce soit. Je rêve… Elle me prend pour le service room ou quoi ? Je soupirais de plus belle, j’avais sérieusement un mauvais pressentiment.


Misaki-chan ?

 

Je sursautais de plus belle à ces paroles inattendues, prenant une position de défense par habitude. Hinata se trouvait devant moi, les yeux plein d’interrogation. Je soupirais, rassurée, avant de prendre une position plus naturelle.


Hinata...bon sang, tu m'as fait peur.

Désolé, ce n'était pas mon intention. Comme tu demeurais, je venais voir ce qui te retenais, répondit-il en se grattant l’arrière du crâne, honteux.

 

Je pris le temps de me calmer, faisant en sorte de ralentir mes pulsions cardiaques. Il fallait dire qu’Hinata m’avait coupé en pleine réflexion, me faisant frôler la crise cardiaque, mais peu importe. Heureusement pour moi qu’il n’était pas arrivé quelques minutes avant. Je n’avais aucune envie d’expliquer quoique ce soit vis-à-vis de cette histoire avec Usui… A présent, le jeune homme sembla encore plus gêné que tout à l’heure. J’eus presque l’impression de voir des oreilles se rabaisser sur sa tête, comme celles d’un petit chiot qu’on viendra de gronder. Je lui lançais un sourire amicale, qui eut pour effet de dissiper ce mal entendu. Son regard redevint fougueux comme toujours et il arbora un sourire à en couper le souffle. Si Hinata avait réellement été un chiot, sa queue se dandinerait activement dans tous les sens.

 

Hinata plaisait beaucoup aux jeunes femmes et étrangement, je n’avais jamais eu d’autres sentiments pour lui que celui d’un frère, ou d’un très bon ami. Et pourtant, je savais bien que le jeune homme n’avait pas toujours eu ce genre de sentiment à mon égard. Son côté joviale, joueur et gentil était sincèrement plaisant, en plus de son physique plutôt avantageux. Mais que voulez-vous… le cœur préfère souffrir avec des abrutis… Et puis, Hinata méritait mieux que moi. Il méritait sincèrement une fille qui n’aurait d’yeux que pour lui. Il m’interrompit à nouveau dans mes pensées, cette fois-ci d’une voix calme et douce.


Tu viens nous rejoindre Misaki-chan ?

Oui... j'arrive tout de suite, dis-je en souriant.

 

Hinata n’attendit pas pour repartir, passant la lourde porte en chêne massif qui donnait vers la cuisine. Je lançais un dernier regard en arrière, là où se trouvaient les escaliers pour monter à l’étage. Le couloir était maintenant semblable à un long chemin de ronces, douloureux et impraticable. Je soupirais de plus belle, continuant mon chemin vers la cuisine, sans un mot.

 

L’animation était toujours au beau fixe dans la cuisine, les filles continuaient de s’amuser en racontant des histoires d’horreur. Sakura pleurait à grosses gouttes, s’accrochant à la chemise de Shizuko alors que celle-ci semblait lire un livre sur les mystères non élucidés d’apparitions. Un livre bien trouvé pour ce genre de soirée. Suzuna était celle qui s’amusait le plus, elle prenait un malin plaisir à torturer Sakura, lui racontant des histoires aussi glauques que possibles et surtout, soi-disant réalistes. Je pris place devant mon assiette encore intacte et restait les yeux dans le vague, la tête encore pleine de pensées. Les filles me lancèrent un regard et s’arrêtèrent de parler, me dévisageant.


Tu n'as pas faim Misaki ? demanda Sakura, une mine inquiète sur le visage.

 

Sakura me fit elle aussi sursauter et les quatre paires d’yeux tourner vers moi me firent l’effet d’une claque. J’inquiétais tout le monde avec ces bêtises…. Je ne pus empêcher un rire nerveux sortir de ma bouche alors que je trifouillais la côte de porc cuite au barbecue dans mon assiette. Je relevais la tête arborant un petit sourire rassurant et posait une main sur la tête de Sakura, qui s’était peu à peu rapprocher de moi, surement pour me faire la morale sur une alimentation saine et équilibrée.  


Non pas vraiment, répondis-je bas, caressant les cheveux de la brune frénétiquement. Ne t’inquiète pas, ça doit être la température, elle me coupe un peu l'appétit. 

 

Je ne pouvais décidemment pas leur dire la vérité, donc pour l’instant cet innocent petit mensonge suffirait. Sakura me fixa pendant quelques minutes d’un regard sérieux et boudeur avant de laisser tomber, soupirant convaincue. Elle me lança un sourire et partit se rassoir sur sa chaise, aux côtés de Shizuko et Suzuna. Ma petite sœur continua ses histoires, ayant bien compris que cette conversation s’arrêtait là. Au moins pour ce genre de choses, ma cadette avait toujours eu du flair et heureusement pour moi. J’en parlerais quand j’en sentirais le besoin et pas avant… Je repoussais mon assiette vers le milieu de la table et pris une pomme dans le saladier en guise de repas. Je croquais à pleines dents dedans, écoutant d’une oreille distraite les histoires de Suzuna. Je posais le reste de la pomme dans mon assiette sentant mon ventre grogner contre ce simple met. Comment pouvais-je avoir envie de vomir avec une simple pomme dans l’estomac ? Le stress et l’angoisse n’étaient vraiment pas compatibles avec l’alimentation. Je débarrassais rapidement la table de mon assiette, réfléchissant en même temps. Il fallait que je trouve quelqu’un pour m’aider à porter les valises de la princesse… Toute seule j’en aurais surement pour la soirée. Je soupirais, regardant à tour de rôle les quatre personnes devant moi. Sakura poserait trop de questions indiscrètes et en ferait surement un scandale. Suzuna, elle, serait plus discrète, mais finirait surement par comprendre toute seule sans mes explications. Trop risqué donc… Hinata s’énerverait à coup sûr contre Usui et je n’avais aucune envie que cette histoire en arrive aux mains.  Il ne me restait donc plus que Shizuko comme option.

 

J’appelais discrètement la jeune fille, qui posa son livre sur la table me regardant. Elle se retira gentiment de l’étreinte de Sakura et s’approcha de moi, en silence. Je lui dis un signe de tête vers le couloir et elle m’accompagna sans poser de question. Heureusement pour moi, aucun des trois autres se sembla vouloir savoir où nous allions. Nous sortîmes donc de la cuisine sans commentaires, me rassurant quelque peu. Shizuko me regarda d’un air plutôt courtois et pourtant plein de question et remonta ses lunettes, m’accordant toute son attention.


Tu as besoin de quelque chose Misaki ?

 

Son air posé et intellectuel détendit immédiatement l’atmosphère. Avec Shizuko, j’étais sûr de n’avoir à répondre à aucune question si je ne le voulais pas. Elle était discrète, douce et surtout elle savait attendre que quelqu’un vienne de lui-même s’il ressentait le besoin de discuter. Elle avait un peu côté psychologue qui en ce moment me convenait très bien. Je pris quelques minutes pour lui expliquer la situation. Cette version de l’histoire se résumait au fait que ma tante avait besoin d’aide pour porter les bagages de deux nouveaux clients. Shizuko m’écouta sans poser de question, bien que je vis son sourcil se soulever plusieurs fois à certaines intonations de ma voix. Cette traitresse avait oser trembler quand je me mis à nommer les deux nouveaux clients. Mais soit, Shizuko ne demanda aucune explication. Elle acquiesa d’un coup de tête et regarda les plusieurs valises au sol roulant des yeux. J’avoue, j’avais eu la même réaction. En voyant le monticule de valises on se demande tout de suite si elles appartiennent à une famille de dix personnes ou à une nana bien coquète et superficielle. Je ne vous donne pas la réponse, bien sûr.

 

Shizuko attrapa tant bien que mal deux valises par leur bandoulière, les soulevant par les épaules et souleva une dernière lourde valise avec ses deux mains. Je m’attaquais au reste, un peu près équivalent en quantité à Shizuko et nous commençâmes à grimper les marches avec difficulté. Nous avions à peine gravit quatre marches, qu’il me semblait porter ses satanés valises depuis plus d’une heure. Je lançais un regard compatissant à Shizuko qui semblait souffrir le martyr et nous continuâmes notre périple en silence. Une chose était sûre, je n’avais jamais autant souffert des bras et pourtant j’étais plutôt sportive.

 

Arrivées en haut des marches, nous reprîmes notre souffle pendant dix bonnes minutes. A vrai dire, j’avais été si contente d’arriver en haut des marches, que par inadvertance, j’avais presque failli laisser une valise dégringoler le long des escaliers.


Bon sang... maugréa Shizuko d’une voix tremblante dû à son manque de souffle. Je ne pense pas que ça soit des romans par dizaine qu'il y ait là-dedans.

 

La phrase de Shizuko me déclencha un fou rire incontrôlable. Imaginer cette Inori avec une bibliothèque dans une valise était de loin l’image la plus ridicule que je n’avais jamais vu. Cette femme était tout sauf intellectuelle. Shizuko me regard quelques instants incrédule, mais sourit à ma bonne humeur contagieuse. Elle devait se douter que je savais plus que je ne voulais en dire, mais une fois encore, elle resta silencieuse et discrète. J’essayais de calmer mon fou rire avec ma main, évitant d’imaginer à nouveau quelque chose de saugrenu. Imaginons donc la réalité. Qu’avait bien pu mettre la tendre fiancée d’Usui dans ses six valises. Hum… surement des habits à ne plus en voir le bout, un stock de maquillage pour soixante personnes, du parfum de marque et autre connerie. Pourquoi les femmes riches étaient-elles obligées de ressembler à des escargots ? C’est vrai quoi, si elle pouvait transporter leur demeure avec elles, je suis presque sûr qu’elles le feraient.

 

Nous entendîmes des pas venir vers notre direction. Je reconnus les talons fins de ma tante avant même qu’elle n’apparaisse devant nous. Elle semblait dépitée et quelque peu énervée. Elle ralentit le pas en nous voyant et nous envoya un sourire aimable, comme à son habitude.  


Merci beaucoup pour les valises les filles... dit-elle nous envoyant un regard peiné. Je suis navrée de vous infliger ça... Mais la demoiselle n'a vraiment pas l'air commode. Je dois leur faire parvenir un diner dans les plus brefs délais a-t-elle dit... Je me demande tout de même où elle se croit, grogna-t-elle.

 

Ma tante secoua la tête d’un air irrité et descendit les escaliers d’un pas rapide, mais toujours avec son élégance habituelle. Je ne pus m’empêcher de sourire face à sa réaction. Je n’étais donc pas la seule à mépriser cette idiote d’Inori ? Bonne nouvelle. Shizuko reprit ses valises en mains et j’en fis de même avant de continuer à arpenter le couloir, qui nous semblait sans fin. Quelques douloureuses minutes plus tard, nous arrivâmes enfin devant la porte de la chambre. Nous nous lançâmes un regard et je toquais à la porte trois fois. J’avais l’impression que ma main pesait une tonne d’ailleurs. Etait-ce juste une impression dû aux engourdissements d’avoir porté de lourdes valises ? Si seulement…

 

Inori ne tarda pas à nous ouvrir la porte, un air mécontent sur le visage. Elle avait croisé les bras sur son opulente poitrine et nous fixait toute deux avec des yeux emplis de reproches.


Ce n'est pas trop tôt ! Hurla-t-elle, furieuse. Comment voulez-vous que je me change si je n'ai pas mes habits. Quel service pitoyable ! Vous vous êtes tous légué pour faire en sorte que je tombe malade ?

 

Je ne pus m’empêcher de rouler des yeux face à tant de stupidités. Shizuko sembla partager mes pensées, car elle m’envoya également un regard dépitée face à la réaction de la demoiselle. Nous étions devant le stéréotype même de la jeune fille nunuche et gâtée à souhait. Mais si, vous savez le genre de fille qui hurle au complot quand elle se casse un ongle parfaitement vernis. C’était pitoyable. Je soupirais, avant de m’excuser platement pour faire bonne figure à l’établissement de ma tante. Elle m’avait toujours dit que parfois il fallait prendre sur sois avec certains clients, je vois tout à fait ce qu’elle voulait dire maintenant. Nous avançâmes au milieu de la pièce pour y déposer toutes les valises. La princesse ne tarda pas à se jeter dessus pour trifouiller sa quantité astronomique d’habits. J’avais eu raison pour le contenu des valises en tout cas. J’entendis Shizuko s’étouffer et lançait un regard en sa direction. Elle me fixa et regarda le lit faisant plusieurs fois le même parcours des yeux, comme pour me montrer où regarder. Mon regard tomba sur Usui, coucher tranquillement sur le lit deux places comme si de rien était. Merde… Je regardais Shizuko d’un regard implorant, lui faisant comprendre qu’elle ne devait rien dire. Elle resta silencieuse, mais son regard en disait long.


Inori continua de grogner, envoyant ses habits aux quatre coins de la chambre, surement pour trouver la tenue idéale et Usui se redressa, pour nous regarder.


Inori arrête d'être de mauvaise foi ! se plaignais-t-il en soupirant de plus belle. Merci beaucoup les filles.

 

Comment cet idiot finit pouvait-il encore m’adresser la parole ? N’avait-il pas honte ? Cet espèce de… de… les mots manquent pour décrire à quel point j’avais envie de lui arracher la tête. Je sentis son regard vert forêt se plonger dans le mien, comme s’il essayait de se faire pardonner toutes les horreurs qu’il avait commises. Ou tout simplement comme s’il voulait me faire parvenir quelque chose… Mais rien à faire ! Je tournais la tête sans une once de regret et prit congé, sortant le plus rapidement possible de cet chambre, Shizuko sur mes talons. Je ne voulais plus le voir, ni lui, ni son horrible fiancée. Une chose était sûre… ces vacances promettaient d’être des plus palpitantes….

 

 *¹ - Misaki appelle à nouveau Takumi, "Usui" pour mettre à nouveau de la distance entre eux. 

 


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Commentaires: 4
  • #1

    misa (vendredi, 28 octobre 2016 15:23)

    ahhhh tu peux pas savoir comment ça fait du bien de lire ce chapitre .... <3
    je veux trop la suite à nouveau <3 !!!!!
    magnifique écriture g trop hâte !! LA SUITE !!!!!!

  • #2

    Bubulle (mardi, 24 janvier 2017 23:28)

    Ayuuuu (T_T)
    S'il te plaiiiit! Je dessèche de ne pas pouvoir te lireeeuuh!! Je viens voir tout les soirs :'(
    On t'aime ne nous laisse pas! <3
    Bisous bisous bubulle

  • #3

    Ayumi (jeudi, 26 janvier 2017 11:02)

    Merci à nous Misa et Bubulle pour vos commentaires <3
    J'ai bientôt terminé la correction du prochain chapitre ^^
    Plus qu'un paragraphe et je vous poste ça au plus vite.
    Plein de bisous à vous deux ! :3

  • #4

    Bubulle (vendredi, 27 janvier 2017 22:11)

    Yay! Merciii t'es super!
    Bisous bisous
    Bubulle